VALENTINA LILY WILHEMINA WILLIAMS SKYLER

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Ϟ adore faire les boutiques ; Ϟ elle est dans toutes les fêtes du campus ; Ϟ sa soeur est la personne qui compte le plus au monde pour elle; Ϟ ; Ϟ la musique à une place importante dans sa vie; Ϟ ne se sépare jamais de son téléphone portable ; Ϟ s'est fait tatouer une étoile dans le cou ainsi qu'un as de pique au poignet ; Ϟ elle s'est déjà cassé le poignet droit plusieurs fois ; Ϟ déteste ce qui est bio ; Ϟ a déjà eut plusieurs petits amis; Ϟ a couché avec beaucoup de garçons ; Ϟ adore les mauvais garçons, rebelles et arrogants ; Ϟ optimiste dans toute les situations ; Ϟ adore les Snickers et peut faire un massacre quand on touche au sien ; Ϟ fume vraiment trop ; Ϟ Ϟ jure comme un chartier. Ϟ est très attachante au fond; Ϟ droguée à la caféïne, c'est une vrai pile électrique. Ϟ Elle ne supporte pas le parfum, ça lui donne mal à la tête Ϟ Allergique aux piqures d'abeilles, elle enfle comme pas deux quand elle se fait piquer par l'une d'elle Ϟ Elle est agoraphobe, donc déteste être entourée de pleins de monde Ϟ ne supporte pas les gens qui se plaignent tout le temps. Ϟ adore le chocolat. Ϟ Ne prends jamais de poids. Ϟ Tombe très facilement malade. Ϟ étudie la photographie à Yale depuis un ans déjà. elle est de nationalité américaine. Ϟ ne s'est jamais vraiment entendue avec son père ; Ϟ très poche de sa mère ; Ϟ elle a déjà voyagé un peu partout dans le monde. Ϟ a des problèmes au genou droit, elle ne peut plus faire de gymnastique Ϟ s'attire très facilement des ennuis. Ϟ la téquila est sa boisson préférée.

Du haut de mes dix ans, je jouais avec mon ami, mon meilleur ami à vrai dire. J'avais tourné la tête à peine une seconde pour voir ce que ma soeur pouvait bien faire pendant ce temps là. Cette dernière lisait un livre, sagement assise sur un des banc en bois. Je levai les yeux aux ciel jamais elle ne changera. Quand un abrutis en short et en t-shirt se pointa devant ma soeur, plissant les yeux pour voir ce qu'il lui voulait. Il prit le livre qu'elle avait en main et le jeta à terre, je crois qu'il allait bien regretter son geste. Débarquant comme une furie, ma soeur me jeta un regard. Je ramassai le livre, puis lui tendit. Dégage pauvre type. grognai je en me glissant entre eux deux. Oh c'est mignon, la jumelle vient à la rescousse, c'est qui qui t'a apprit ça ? Ta mère peut être. Comment en étant gamin on pouvait déjà être aussi méchant. J'avais envie de pleurer mais en même temps je sentais la colère monter en moi. Je lui déclanchai une droite en plein dans le nez, a présent ma main me faisait mal, mais vraiment mal. Je pris mon poignet. Aie.. Le garçon finit par se tenir le nez. Mon nez, mon nez tu l'as cassé je crois. Il partit en courant dans le sens inverse. TOUCHE PLUS A MA SOEUR ! lui criai je alors que je me retournai vers elle. Cette dernière me regardai les yeux écarquillés comme des soucoupes. Prenant une grande inspiration tout en me massant les doigts, je lâchais à ma soeur, . Surtout dis pas merci hein.. Cette dernière pointa quelque chose derrière moi ou peut être quelqu'un. Je me figeai. Y'a la directrice derrière moi c'est ça ? Elle acquiesça comme si elle était incapable de parler à l'instant présent. Très juste mademoiselle Williams Skyler. Je me retournai pour voir une vieille femme un peu grassouillette, les cheveux attachés en un chignon impeccable, des petites lunettes en forme de demi lune sur lenez, mais le plus souvent elle fixait les écoliers par dessus ses lunettes. Ce qui nous foutait un peu les pétoches, on va dire. suivez moi dans mon bureau tout de suite Ma soeur serra son livre contre elle aussi fort que possible, c'était moi qui était plus habitué à aller dans son bureau, en bonne tête brûlée que je suis. Ce qui avait pour don d'agacer mon père au plus haut point, et souvent je me retrouvais privée de sortir pendant deux semaines. Vous me suivez toutes les deux! fis elle en tournant les talons, eh merde. Je tournai la tête vers ma soeur qui me fusilla du regard. Je lui adressai un petit sourire. La prochaine fois, Val'. Tu gardes tes bonnes idées pour toi papa va nous tuer. En réalité le mot était bien faible. On s'installa toutes les deux sur les chaises cuir rouge du bureau de madame la directrice. Elle passa plusieurs coup de fil. Je pus deviner qu'il y en avait un à notre père, un autre aux parents d'abrutis number one. Un autre à l'infirmerie. Une fois tout les coups de fils passés, elle posa ses mais sur son bureau. Suivant tout ses gestes des yeux, je connaissais la routine. Elle nous fit son blabla pendant vingt minutes, que cette école était une école réputée et qu'elle ne voulait pas que ce soit le bordel, enfin elle avait dit ça en employant d'autres mots. Je me tournai de temps à autre vers ma soeur qui fixait la proviseur. Quand enfin, on toqua à la porte, la directrice pria la personne d'entrer dans le bureau. A force d'entendre les pas s'avancer pour arriver à la hauteur des deux sièges, je m’enfonçai dans le mien. Mon père se tenait là, je prie une grande inspiration, son visage était de couleur rouge, peut être avait il courut. Ou peut être pas. Il nous regarda tour à tour, Lenon et moi. Ses yeux émeraudes perçants, en fait c'était de la colère. Il avait une de ces allures en costard comme ça. La vieille dame nous congédia toutes les deux, on finit par s'installer sur un banc non loin de la porte du bureau de la directrice. Il va nous tuer tout ça par ta faute ! fit ma soeur, je sentais la colère monter en elle si bien qu'elle avait les joues toutes rouges. Elle n'arrivait pas à s’énerver si bien que le plus souvent j'éclatais de rire devant sa tête. Ma faute ? Si tu te laisserais pas autant marcher sur les pieds j'aurais pas besoin de faire ton garde du corps tout le temps !, fis je en haussant un sourcil. J'ai pas besoin de ton aide, Val' j'me débrouille très bien toute seule !, fit elle son visage s'empourprant de plus en plus. Je levai les yeux au ciel. Valentina ! Lenon! Suivez moi tout de suite! Il était sortit du bureau, et venait surement d'apprendre mes exploits de la matinée. Aie. On allait morfler c'est moi qui vous le dit. Durant tout le trajet dans la voiture il ne parla pas. Sa voix avait été cassante. Le trajet durant dix minutes en voiture, une fois à la maison, il nous ignora pour aller ouvrir la porte. Et se dirigea vers le salon. On le suivit comme si on était des condamnés à mort, claquant la porte derrière nous. On s'assit toutes les deux sur le canapé. Vous êtes privée de sortie pendant tout le mois, commença-t-il. Lenon souffla. Mais papa.. fis je d'une petite voix. Tais toi, tout de suite Valentina ! fit il tranchant, mais vous me connaissez mal instinct de survie zéro. C'est pas de sa faute ! fis je en désignant Lenon, alors que mon père me fixait de son regard perçant. TU LUI A CASSE LE NEZ ! s'emporta-t-il. C'est pas grave, il était déjà moche à la base. VALENTINA !, hurla-t-il à nouveau, bon dieu, il devait toujours hurler comme ça ? Je grognai baissant la tête. De plus tu feras la vaisselle! Je relevai la tête, affichant une sale grimace. La discussion est close monter dans vos chambres immédiatement ! Ma soeur prit son sac et monta les escaliers en bois, de quatre en quatre. Avant d'entendre la porte de sa chambre claquée dans un vacarme. Je montai à mon tour , passant devant celle de ma soeur je lâchai un simple désolé, avant d'entrer dans ma chambre à mon tour.

J'y aurais jamais penser, j'aurais jamais voulut que tout cela se passe. Dix sept ans et on croit être les rois du monde. Dix sept ans et le monde nous appartient. Serieusement rien ne nous appartient. J'avais souvent pris des risques, je fumais déjà depuis presque deux ans. J'avais quinze ans quand j'ai fumer la première fois, uniquement pour rendre dingue mon père comme je le faisais si bien en fait. Dix sept ans et rien dans la tête. Regardant les personnes passer et repasser dans ces couloirs, je portais une atèle au genou, j'avais les ligaments déchirés m'avaient dis le médecin. J'avais aussi une atèle au poignet car je l'avais foulé, j'avais pas mal de bleus sur tout le corps, et bouger ne serait ce que d'un millimètre était pour moi une torture. J'avais le visage ouvert, mais rien n'était comparable à ce que ma soeur avait, j'attendais dans le couloir de cet hopital. Mon père était en déplacement à ce moment là. La seule personne responsable de nous a ce moment là c'était moi, mais n'étant pas majeur. J'avais dus l'appeller. elle. Celle qu'on appelait autre fois maman. Tout la haine que j'éprouvais envers elle, était incomparable. Je n'avais pas d'autre choix, ils voulaient, les médecins, lui faire passer des examens. Mon père n'était toujours pas là et ça faisait déjà deux jours. Saleté de compagnie aérienne. Les infirmières étaient enfin sortis de la chambre, à ma plus grande joie, je n'avais pas eus l'autorisation de la voir pendant ces deux derniers jours. Alors j'harcelais le médecin les infirmières et tout le gratin qui s'occupait d'elle, pour savoir si elle allait mieux, mais la seule chose qu'il trouvait à dire c'était "son état est stable, elle va mieux" a croire qu'ils se donnaient tous le mot pour me répéter ça. Il ne devait pas en savoir plus, tout comme moi. Je fixai les carreaux du sol, tout était blanc, ou bien beige je détestais les hôpitaux. Tout paraissait calme bien trop calme. Quelqu'un finit par me tendre un gobelet remplis d'un liquide qui ressemblait à du chocolat. Je relevai la tête pour apercevoir cette femme au cheveux noir, et aux yeux clairs, qui tentait de m'offrir un peu de réconfort tout ce que je voulais c'était revoir ma soeur, c'était comme si on avait pris une par de moi même et qu'on me l'avait arraché. je bois pas de chocolat, c'est Lenon qui en boit. Je rebaissai la tête, sur le carrelage. Fixant un point imaginaire. Quand quelqu'un cria mon nom, je relevai alors la tête pour apercevoir mon père et malgré le fait que je sois à demi handicapée, je ne pus m'empêcher de courir pour lui sauter dans les bras malgré la douleur que cela me procurait. Il me serra contre lui de toutes ses forces, je ne pus m'empêcher de pleurer toutes les larmes que je m'interdisais de couler. Il m'embrassa sur le front, puis sur les deux joues, avant de me reposer à terre. Il aperçus alors ma mère, me serrant plus contre lui, cette dernière ne sachant que dire lui adressai juste un sourire. forcé mais c'était quand même un sourire. Il baissa les yeux vers moi. Je ne pouvais appeler que elle papa, t'étais pas là et papi et mami bah ils répondent jamais. On finit par entrer dans la chambre d’hôpital voyant ma soeur comme ça, elle semblait si calme si paisible, elle semblait dormir. Sauf que le bip qui revenait toutes les minutes, indiquait le contraire. Elle ne dormait pas, elle était dans le coma. Des frissons hérissèrent ma colonne vertébrale, des fils de partout, je ne pus m'en empêcher je fondis à nouveau en larmes. Je finis par sortir de la pièce toujours en pleurant.

Tout cela dura au moins deux semaines, tout les jours et tout les jours j'étais à son chevet et mon père me rejoignait une fois son travail terminer, ma mère était vite repartie après une énième dispute avec mon père encore et toujours. Puis un jour, alors que j'étais entrain de lire un livre que Nicholas m'avait prêter, assise sagement au côté de ma soeur, sur un des fauteuil des plus inconfortables que je côtoyais depuis maintenant deux semaines. Tu sais que le principe de lire un bouquin, c'est lire les mots et pas seulement tourner les pages ? toujours concentré sur mon livre. Tu veux bien arrêter de m'emmerder Ephyr ça me ferait des vacances ! Me rendant compte je relevai la tête, des larmes de joies se mirent à couler sur mon visage. Ma soeur était réveiller, je la serra si fort dans mes bras, qu'elle me poussa légèrement. Me refait plus jamais ça ! fis je en pleurant toujours et encore. Ma soeur était une battante on vous l'avait jamais dis ?

Joyeux anniversaire Leni! Joyeux anniversaire Leni ! fis je en criant alors qu'elle venait d''entrer dans la cuisine depuis a peine deux secondes. Elle s'effraya, me regardant de l'air qu'elle prenait quand je faisais des conneries. Je lui souris, puis brandis un gâteau qui était un peu raté voir carrément cramé. C'est pas notre anniversaire, rétorqua-t-elle en s'asseyant sur une des chaises. T'est qu'une rabat joie ! fis je en lui faisant une grimace, et m'asseyant en face d'elle. Pourquoi t'étais pas en cours? me fit elle en fronçant les sourcils attendant patiemment ma réponse. J'suis allée chez le médecin.. fis je un peu réticente à l'idée que ma frangine ne se soit transformée en Sherlock Holmes en Herbes. J'arquai un sourcil, elle se leva se prenant un verre d'eau. Le pire c'est que je lui disais la vérité j'étais allée chez le médecin et chez le kiné en fait pour mon genou. vous savez celui qui a prit cher pendant l'accident, lui même. Ca faisait un an que je faisais du kiné pour pouvoir de nouveau un jour faire de la gymnastique. Parce que hier soir j'ai fais une connerie mais genre magnifique, et quand j'suis rentrée de la salle de gym mon genou il avait trois fois son volume habituel. enfin rien de très intéressant. Qu'est ce que tu as encore fais ? Tu comptes m'empoisonner avec ce gâteau. me lanca-t-elle dans la figure, bon ok. T'a un soucis psychologique aujourd'hui? T'a tes règles peut être ?, fis je en arquant un sourcil, signe que cette discussion commençait sérieusement à me pomper le système. Elle finit par tourner le dos, je pris un oeuf dans le frigo et lui balança dessus. Elle se retourna choqué, je ne pus m'empêcher de lacher un petit rire en voyant sa tête de sainte choqué par ce que je venais de lui dire. Elle regarda son verre d'eau et me le jeta à la figure. Écarquillant les yeux, je pris un bout de gâteau en main et lui jeta dessus. Je finis par éclater de rire devant la tête de ma soeur. quand je me pris de la farine dans la tronche. Et bien sûr comme d'habitude tout cela ce finit en une explosion dans la cuisine, explosion enfin vous comprenez des oeufs partout, un mélange lait eau jus d'orange sur le sol. un bordel. Papa va nous tuer.. fit elle en riant et s'enlevant des coquille d'oeufs des cheveux. Il va me tuer l'idée était de moi à la base, toutes les idées tordues sont de moi tu devrais le savoir. fis je en me relevant tout en passant une main dans mes cheveux aromatisés au jus d'orange. Je finis par chercher mon paquet de cigarette dans ma poche. Je finis par l'allumer, tout en partant à la rechercher de deux enveloppes en papier brun. J'en tendis une à ma soeur, celle ou mon nom était marquée dessus. On a nos affectations, c'est pour ça aussi que je ne voulais pas aller en cours aujourd'hui., lui dis je en tirant une latte de ma cigarette. Tenant la cigarette dans ma bouche, je pris une grande inspiration. J'ouvre la tienne t'ouvre la mienne ?, me demanda-t-elle en regardant l'enveloppe. J’acquiesçai puis regardai. Mademoiselle Skyler Williams j'ai le regret de vous annoncer.. Je vis ces yeux scintiller. que vous devez très vite préparer vos affaires pour vous diriger très vite vers notre nouvelle université. elle me sauta dans les bras folle de joie. emmenez donc avec votre jumelle aussi chiante soit elle !, me cria-t-elle dans les oreilles. Attention Yale les jumelles débarquent..

Ta naissance ? Comment s'est passé ton enfance, adolescence ? Tu as toujours vécu à New York, raconte moi tout je veux tout savoir, est-ce que tes parents sont divorcés ? Tes frères et sœurs t'ont-ils embêtés ou bien c'était tout de suite l'amour fou entre vous. On accepte même les anecdotes concernant ton jolie minois, plus curieux que nous il n'y a pas allez souris et raconte nous tout en 20 LIGNES, si ce n'est pas peu tout ça...