✩ petit nouveau relax, je viens d'arriver Elliott Z. Kennedy
Ϟ MESSAGES : 5 Ϟ POINTS : 9 Ϟ A LOS ANGELES DEPUIS : 10/01/2012
| Sujet: Elliott Zooey Kennedy || Little Miss Sunshine Mar 17 Jan - 14:21 | |
| Elliott Zooey Kennedy “Le meilleur moyen de résister à une tentation, c'est d'y céder.”
NOM : Kennedy Ϟ PRÉNOM : Elliott Zooey Ϟ ÂGE : 19 ans Ϟ DATE, LIEU DE NAISSANCE : 13 octobre 1993, Las Vegas Ϟ STATUT : Célibataire Ϟ ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle Ϟ MÉTIER/ETUDE : Etude de photographe, travaille à l'hôpital Ϟ GROUPE : Say cheese Baby Ϟ AVATAR UTILISÉ : Candice Accola Ϟ CREDITS : ici Ϟ AUTORISE LE DÉDOUBLEMENT D'AVATAR : Non =/ .
| | | Je ne suis pas une de ces filles inintéressantes qui passe son temps seule dans son coin, sans aucun sourire sur le visage, qui ne s'amuse d'un rien, et qui est d'un ennui profond. On ne peut pas me poser dans le coin d'une pièce, et m'oublier pendant toute une journée. Je ne suis pas vraiment une gentille petite fille pâle sans intérêt, ou qui n'a pas de conversation. Au contraire, j'ai de la personnalité, et pas des moindres. J'ai une facilité déconcertante pour me faire des amis, et je vais facilement vers les autres, avec un naturel parfois déconcertant. Je peux faire une discussion d'un rien, et n'importe quel sujet me venant à l'esprit. On peut dire de moi que je suis large d'esprit, je n'ai pas d'apriori, si ce n'est que j'ai toujours un peu de mal avec les personnes habillées exclusivement de marques, ou qui affichent leur argent ouvertement, et je déteste les personnes égoistes, ou qui sont trop "moi je". J'ai ce qu'on peut appeler une grande gueule, mais jamais à mauvais escient, je ne passe pas mon temps à critiquer mon entourage, même les personnes que j'apprécie le moins. Lorsque je passe en mode "Dark Elliott", c'est parce que l'on m'a poussée à bout, ou que l'on s'est attaqué à une personne que j'apprécie, et lorsque cela arrive, si vous avez l'idée stupide de vous attaquez à un de ceux qui m'entoure, alors je ne réponds plus de moi, et vous préféreriez être à l'autre bout de la planète plutôt que d'avoir à m'affronter. Je suis prête à n'importe quoi pour ceux qui me sont proches, et je donnerais ma vie sans hésitation pour Nolan, ou l'un des triplets Fallenwood. Un peu excessif? Non, disons juste que quand je tiens à quelqu'un, ce n'est pas à moitié, que ce soit en amitié, comme en amour, je suis fidèle et loyale, et je sais que ce côté de ma personnalité peut me perdre. On dit de moi que je suis une véritable bout en train, et que je ne passe pas une minute sans m'amuser, sans taquiner les personnes qui me sont proches. Je suis toujours de bonne humeur, un large sourire sur mon visage, et les yeux pétillants de malice. Je suis très expressive, la moindre émotion ressentie peut se lire sur mon visage, que ce soient des émotions positives, ou d'autres plus négatives, comme la tristesse, ou la déception. C'est d'ailleurs l'une des choses qui m'énerve sans doute le plus chez moi, cette capacité qu'on les gens à pouvoir lire ainsi en moi, comme dans un livre ouvert. Je suis d'un naturel très patient, je peux rester des minutes entières totalement immobile, juste pour attendre LE bon moment pour faire une photo, et faire ressentir l'essentiel du moment. J'ai confiance en moi, en ce que je fais, ce que je dis, mais je n'ai pas confiance en l'image que je donne de moi, et je suis assez critique envers moi même, assez perfectionniste. Je suis une fêtarde, ne manquant jamais une occasion de m'amuser, de rire. Dans mes relations amoureuses, je me montre souvent bien trop méfiante, et beaucoup disent que je fais galérer les pauvres hommes qui s'intéressent à moi, parce que j'ai peur de m'attacher à eux, et inversement, et que j'ai peur de ce qui pourrait se passer si ça devait arriver. Stupide me dirait vous? Pourtant c'est incontrôlable. Je flippe comme une malade lorsque je sens un rapprochement avec un jeune homme, et je deviens quasi hystérique aux mots "je t'aime". Je suis aussi incroyablement, et il suffit parfois qu'on me dise un truc, pour que je fasse exactement le contraire, disons que quand j'ai une idée dans la tête, il faut se lever tôt pour me faire changer d'avis, je peux me montrer on ne peut plus têtue, même si j'ai tort. D'ailleurs, je n'aime pas spécialement reconnaître mes torts, et lorsque je le fais, ce n'est pas toujours de très bonne humeur. | |
SUCRÉ OU SALE : Salé Ϟ JOUR OU NUIT : Nuit Ϟ VILLE OU CAMPAGNE : Ville Ϟ TON JEU VIDÉO PRÉFÉRÉ : Resident Evil Ϟ UNE CITATION : I love people who makes me laugh even when I don't want to smile. ϞÉTÉ OU HIVER : Printemps (a) Ϟ UN BONBON OU UN SORT : Un sort, ah ah! Ϟ SI JAMAIS LA FIN DU MONDE ARRIVERAIT TU FAIS QUOI : Tout ce que j'ai jamais osé faire avant! ϞLE MOT QUE TU UTILISES LE PLUS SOUVENT : C'est psychologique! Ϟ TON PLAT PRÉFÉRÉ : Les lasagnes Ϟ UN ENDROIT : New York Ϟ ET LE GIRL POWER T'Y CROIS TOI : Evidement! Who runs the world? GIRLS!!! Ϟ C'EST MOI LE PLUS BEAU, ON EST D'ACCORD ? Peut être...peut être pas (a) Ϟ BATMAN OU WOLVERINE : Team Wolverine! Ϟ T'AIME LE TRICOT ? Ma passion! CA VA JE T'EMMERDE PAS TROP ? Hum...mais non! |
Je suis née le 13 octobre 1993, dans une banlieue de Las Vegas, ville de la décadence. J'ai été très tôt confiée aux services sociaux, et personne n'a jamais voulu me dire comment j'étais arrivée là, et d'ailleurs je ne sais toujours pas ce qui est arrivé à ma famille, mais au final, j'ai était placée dans un orphelinat très jeune, où il avait d'autres enfants comme moi, abandonnés, ou sans famille. On y était plutôt bien traités, mais aucun de nous ne recevait toute l'attention dont il avait réellement besoin, et certains ne faisaient que passer dans l'orphelinat, d'autres en partaient rapidement pour y revenir encore plus vite. Ce fut mon cas, tu sais. J'ai été trimballée de famille d'accueil en famille d'acceuil, voyant chaque jour la chance de tomber sur une famille correcte s'amenuiser un peu plus. J'ai fini par ne plus y croire vraiment, faut dire que j'étais une gamine plutôt docile, j'obéissais facilement, me pliant à ce système que je ne comprenais pas forcément. J'étais timide et restais le plus souvent dans mon coin, ne me mêlant que rarement aux autres enfants, il fallait dire que l'ambiance n'était pas toujours à la joie. Je suis sûre que tu ne m'aurais jamais reconnue étant plus petite, tu serais passé à côté de moi sans même me remarquer. Au final ça faisait 4 ans environ que j'étais dans l'orphelinat, lorsque je fus confiée à une nouvelle famille. Peter et Nora m'accueillirent donc dans leur maison, avant de m'emmener avec eux à Los Angeles, là où ils vivaient la plupart du temps, à cause du métier de journaliste exercé par le mari. Ils me firent visiter leur maison, me montrant la petite chambre de princesse qu'ils m'avaient aménagé à l'étage, rose et blanche, celle que t'as connu quoi en fait, avec pleins de peluches, et de poupées. Ils avaient un sourire bienveillant, et dieu sait qu'ils étaient à l'affût de mes besoins, me demandant toujours si j'avais besoin de quelque chose, si quelque chose me ferait plaisir. Ils me présentèrent vite à leur famille aussi, ça m'avait fait flipper d'être au centre de tous les regards pendant un si long moment, mais ils avaient tous l'air de m'apprécier. Je commençais à m'attacher à eux, à ressentir plus que de la sympathie pour eux, pour la façon dont ils me traitaient, mais je refusais d'aller plus loin, de les voir comme ma nouvelle famille, je crois que j'avais peur d'être renvoyée à l'orphelinat au moment même où je finirais par y croire. Roh, pis tu connais mon caractère depuis le temps, moi qui flippe tout le temps de m'attacher aux gens, c'est maladif on dirait. Pourtant, je n'avais jamais passé tant de temps dans une famille que dans la leur, et j'avais même réappris à sourire avec eux, j'aurais du comprendre que ca se passerait bien cette fois, mais bon, on dit pas adieu à ses vieux démons aussi facilement. Je devais avoir six ans lorsqu'ils m'adoptèrent finalement, faisant de moi une Kennedy.
Je prenais donc mes marques dans cette nouvelle famille, ma famille, et apprenait à considérer les Kennedy comme mon père et ma mère, les appelant même ainsi de plus en plus souvent. Ca m'a fait bizarre d'ailleurs la première fois où j'ai appelé Nora "maman", mais t'aurais du voir sa tête, on aurait dit qu'elle attendait ça depuis toujours. Faut dire, c'est la première fois qu'on devait l'appeler comme ça, et ca se voyait sur son visage qu'elle ne vivait que pour être mère, mais j'étais contente de pouvoir lui faire ce plaisir. Ma mère était stérile, et ils reportaient sur moi tout ce trop plein d'amour qu'ils n'arrivaient pas à donner à un autre enfant. Ca devait être aussi à cette époque que ma nouvelle mère est allée voir notre voisine, demandant à ses fils s'ils voulaient bien venir jouer avec moi. Elle avait dû me voir vous observer en douce derrière le rideau de la cuisine, pendant que vous jouiez au foot. Dieu ce que j'avais envie de venir jouer avec vous, mais j'avais trop peur que vous refusiez, que vous ne me voyiez comme la petite adoptée sans famille que j'étais, et puis vous aviez pas l'air d'avoir besoin d'une autre personne dans votre petit trio. Pourtant, quand vous êtes venus sonner à la porte de la maison, demandant à me voir, en souriant tous les trois comme ça, absolument identiques en tout point, j'ai compris que je m'étais fait peur pour rien. On a vite noué des liens d'ailleurs tous les trois, on passait le plus clair de notre temps, si ce n'est tout notre temps, ensemble. On se retrouvait devant la maison tous les matins, on se retrouvait à la récré, on faisait le chemin du retour ensemble, on faisait nos revoir ensemble, bref, on faisait un petit groupe super soudé, enfin, on fait un groupe soudé. Et puis, on est devenus une petite famille aussi, on a toujours était là, les uns pour les autres, quoiqu'il arrive, et je c'est marrant, traite moi de naïve si tu en as envie, mais je suis sûre que ça va rester comme ça pendant un bon moment encore.
L'année juste avant qu'on entre au collège, mes parents m'ont demandé de m'asseoir dans le salon, un grand sourire sur le visage. Tu sais, ça faisait quelques jours qu'ils avaient toujours cette mine réjouie qui ne les lâchait pas, ce sourire limite béat jusqu'aux oreilles, et j'allais enfin savoir pourquoi. J'appris donc que la famille n'allait pas tarder à s'agrandir, et que j'allais avoir un petit frère, ou une petite soeur. Leur bonne humeur fut vite contagieuse, et moi non plus je n'ai pas été épargnée, mais j'avais un peu peur qu'ils me rejette de leur famille, après la naissance de ce petit bébé rien qu'à eux, leur vrai enfant. Et tu te souviens de ce que vous m'avez dit? Qu'on pouvait pas de passer de moi une fois qu'on m'avait connu, et que je m'inquiétais pour rien. Vous aviez encore raison, j'ai su que je faisais parti de la famille, à ce jour et à jamais, lorsque ma mère à déposé Nolan dans mes bras, le jour de sa naissance, et qu'il a serré son petit poing autour de mon petit doigt. Ce jour là, j'ai su que notre famille venait de s'agrandir, et qu'on allait juste être de plus en plus heureux tous les quatre, et je su que je ferais tout mon possible pour que ce petit bout d'homme ai une vie géniale.
On a continué à grandir, sans que nos petits tracas quotidiens ne nous embête plus que ça, on est devenus des ados tranquilles tous les quatre, je me montrais attentive en cours, restant éloignée des problèmes disciplinaires que d'autres faisaient subir à leurs parents. J'avais des bonnes notes, je réussissais très bien en cours, sans trop me forcer, comprenant avec un naturel presque déconcertant, et j'ai été poussée très tôt à aider les autres élèves qui ne comprenaient pas. Je n'ai eu donc aucun mal à réussir à obtenir mon diplôme,obtenant d'excellentes notes d'ailleurs. Tu te souviens, on avait fêté ça tous les quatre, on avait fait une fête énorme dans le jardin, avec tous nos amis. Faut dire que pour certains, c'était la dernière fois qu'on les voyait, plusieurs d'entre eux choisissant d'aller étudier dans d'autres universités, quittant parfois les Etats Unis. Et à la fin, quand ils étaient tous partis, on était restés dans la pelouse, parlant d'avenir, voyant les choses en grand. Vous les Fallenwood, et moi, avions choisi la même faculté, celle de Yale, mais au delà de cette volonté de rester ensemble, c'était surtout le moyen pour nous de réaliser ce qui nous tenait à cœur, de faire ce que nous avions vraiment envie.
J'étais réveillée aux aurores, le jour où les résultats devaient arriver, et je savais que de votre côté, ça devait être la même chose. Assise dans la cuisine, entourée de mes parents, je pris des mains la lettre que Nolan me ramena, juste après le passage du facteur. J'avais le coeur qui battait à cent à l'heure, et j'avais conscience que j'avais mon avenir entre les mains. J'ai pris tout mon temps pour ouvrir l'enveloppe, les doigts tremblants, et ma famille comprit que j'avais été acceptée au moment où je sautais dans les bras de Nolan, un large sourire aux lèvres. J'avais été acceptée à Yale, cursus photographie, ma passion depuis une dizaine d'années. Je quittais la maison en courant, fonçant chez vous, parce que je savais que vous aviez aussi reçu vos résultats le même jour que moi. Et bien sûr, vous aviez été tous les trois acceptés. Tu sais ce que je me suis dit au moment là? Que c'était con que je m'inquiète pour ça, je veux dire c'est nous quoi! Les Fallenwood et Elliott, la Dream Team, on a grandi ensemble, pratiquement vécu ensemble toutes ces années, c'était logique qu'on continue ensemble, non? Et maintenant, on est dans la même fac. Tu t'étais demandé comment ça allait continuer entre nous, si on allait se perdre de vue, ou si on allait continuer à rester ensemble tous les quatre? En fait, j'aurais du me douter que t'aurais pas pu te passer de moi. Et puis, t'aurais raconté tous tes exploits amoureux à qui sans moi? Et qui aurait pu te donner des conseils aussi avisés que les miens? Non, me remercie pas, je suis géniale, je le sais bien. C'est marrant quand même qu'on soit devenus aussi proches tous les deux, enfin tous les quatre même. Tu te souviens de ce que tu m'as dit à la soirée de remise des diplômes? Hein Felipe? Hé, tu m'entends? Tom?" me redressant, je vis que le jeune homme avait les yeux fermés, et que sa poitrine se soulevait doucement en rythme. Fronçant les sourcils, je pris mon oreiller, et lui donnait un coup dans le visage, sans douceur, avant de le remettre en position, au moment où le jeune homme ouvrait les yeux, me demandant ce qui se passait.
"-Oups, faux mouvements! Faut dormir, on a cours dans quelques heures! Bonne nuit!" lâchais je innocement, en me couchant à mon tour, une main replié sous la tête, tirant plus vers moi la couverture, avant de fermer les yeux à mon tour. . Lorsque j'avais une dizaine d'années, ma mère devait en être à son huitième mois de grossesse, et je savais qu'elle devait se reposer, pour ne pas qu'il y ai de risques, pour elle ou le bébé. Alors pour leur faire plaisir, et parce que je savais qu'elle adorait le chocolat, j'ai voulu faire un fondant, pour le repas du soir, où les garçons devaient venir manger avec leurs parents, bons amis des miens. J'avais dû passer au moins deux heures dans la cuisine, et lorsque j'avais finalement réussi à démouler mon cadeau, je dois dire que j'étais plutôt fière de moi. Je servis donc une part de gâteau à chacun, attendant avec un sourire que l'on me dise ce que l'on pensait de mon gâteau. Et là, tous les sourires bienveillants posés sur les visages des différentes personnes présentes se transformèrent en grimace, alors que Tony allait même jusqu'à recracher son morceau dans son assiette. Je goutais à mon tour, et je compris vite ce qui s'était passé. J'avais confondu le sel et le sucre, et le gâteau avait tout simplement un gout atroce. J'avais finalement éclaté de rire, avant que nous décidions tous d'aller prendre le dessert en ville. Ce jour est resté gravé dans les mémoires de la famille Kennedy, et tout le monde se fait un plaisir de me le rappeler lorsque je fais à manger. Pourtant, depuis ce jour là, j'ai pris des cours de cuisine, et je m'en sors beaucoup mieux. Ma mère étant infirmière à l'hôpital, il lui est souvent arrivé de m'emmener avec elle, avant que mon père vienne me chercher. J'ai donc pris un certain gout pour les personnes qui y travaillaient, et pour le travail qu'ils y faisaient. J'ai donc rejoint à mon tour l'hôpital, et y travaille désormais auprès des enfants qui y sont hospitalisés, depuis mes dix sept ans. J'y ai rencontré des personnes très intéressantes, et je me suis attachée à beaucoup de ces gamins, à qui j'essaye de redonner le sourire, tant bien que mal. Je n'ai jamais cherché à en savoir plus sur ma famille biologique, ou sur mes origines. J'étais persuadée que si j'avais atterri dans cet orphelinat qui m'avait conduit aux Kennedy c'était surement pour une bonne raison, et puis cet abandon, ou ce que c'était, m'avait conduit à Peter et Nora, qui s'étaient toujours très bien occupés de moi. Je considère les Kennedy comme mes vrais parents, et n'ai jamais eu pour eux de phrases blessantes disant le contraire. Quant à Nolan, nous nous considérons réellement comme de vrais frères et soeurs, sans prendre en considération le fait que j'ai été adoptée, nous sommes réellement proches, je suis la première personne vers laquelle il se tourne lorsqu'il a une question, ou qu'il a besoin d'un conseil. Je me suis fait tatouée une phrase sur l'omoplate pour mes dix sept ans, "love breaks the locks", littéralement "l'amour brise les verrous", ainsi que le signe de l'infini, sur le poignet droit. Il y a quelques mois, je me suis rendue à une soirée avec des amis, où j'avais tapé dans l’œil d'un jeune homme avec lequel j'avais déjà échangé quelques mots, ce qui fut d'ailleurs réciproque. Il m'avait offert un verre, et nous avions discuté un petit moment, passant finalement la soirée ensemble plus qu'avec nos autres amis. Alors que je sortais des toilettes, je l'avais surpris dire à ses amis qu'il m'avait dans la poche, et qu'il était sûr qu'on allait finir dans le même lit, ce dont il se vantait à voix haute, devant tout le monde. Je n'étais pas ce genre de fille, une marie couche toi là, et je ne comptais pas le devenir ce soir. Je jouais cependant son jeu, et rentrais avec lui, alors qu'il louait une chambre d'hôtel plutôt chic. Plus il sortait le grand jeu, plus je prenais plaisir à faire ce que je m'apprêtais à faire. J'attendais donc qu'il se dénude totalement, avant de prendre les rennes de notre jeu. Prenant les menottes qu'il balançait gaiement du bout des doigts, je m'en emparais, et un sourire coquin sur les lèvres, j'attachais le jeune homme au barreau du lit, serrant au maximum. Une fois l'opération faite, je m'éloignais, posant la clé à l'autre bout de la pièce, avant de me rhabiller, et de quitter la chambre, un large sourire au visage, malgré les supplications du jeune homme. Et oui, j'ai beau être gentille, il ne faut pas pour autant se moquer de moi! Je suis adepte de course, et de yoga. Je me lève tôt trois fois par semaine, et vais courir au moins une heure, seul moyen que j'ai trouvé pour me sentir mieux en cas de stress ou de pression. Sinon, je fais pas mal de yoga, et ai donc développé la patience qui va avec, mais aussi la souplesse. J'ai toujours développé un intérêt particulier pour les films d'horreur, ou de type gore dès mon plus jeune âge déjà. Je suis capable de regarder les pires films qui soient, sans ressentir la moindre émotion, ou presque. Et plus il y a d'hémoglobine, plus ça me satisfait. Je pourrais passer la nuit entière à regarder des films d'épouvante, sans que mon sommeil n'en soit nullement perturbé, et je passe plus de temps à critiquer les vices du scénario, du tournage, ou de la façon de mourir des gens, plutôt qu'à regarder gentiment. Il m'est même déjà arrivé d'avoir des fous rires en voyant la façon dont certains perdent la vie, mais ce n'est pas forcément quelque chose dont je me vante souvent. Passons aux choses sérieuses, c'est quoi ton p'tit nom Mél, et ton pseudo sur la toile ça donne quoi mon chou ? Amy J'avoue que c'est mignon et sinon, t'a l'air bien jeune t'a quel âge dis moi ? 22 ans plus si jeune que ça!. Et sinon t'habite où, genre si jamais j'ai très envie de te faire un petit coucou. Lorraine Et sinon le motif de ta présence c'est quoi mon loulou ? Devine Ca va la déco' est à ton goût, mon chou Carrément, Elena a encore géré!. Et sinon t'a un p'tit truc à nous dire ? Euh...rien qui me vient là tout de suite! |
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